The Sovereign Order of Monte Cristo And the newly discovered adventures of Sherlock Holmes
Holy Ghost Writer
146 pages 2013 - États-Unis Roman
Intérêt: 0
Ce volume est le deuxième de la série des suites de Monte-Cristo
écrites par le Holy Ghost Writer. Il est numéroté
« Book III », l’auteur considérant que Le
comte de Monte-Cristo de Dumas est le premier
volume et que son The sultan of Monte Cristo
est le tome 2.
The Sovereign Order of Monte
Cristo suit immédiatement les dernières pages de
The sultan of
Monte Cristo. Un « prélude »
montre Sherlock Holmes racontant cette histoire au
docteur Watson. On verra plus tard pourquoi. Holmes
réapparaît à plusieurs reprises en tant que narrateur.
Le livre poursuit donc le récit des aventures de
Raymee : celle-ci prend complètement le pouvoir qui
revient en principe à son époux le Calife (qu’elle a
fait castrer). Elle donne naissance à des jumeaux, un
garçon Malik et une fille Jaydee, conçus par
Monte-Cristo.
Ce dernier entre en communication directe avec Dieu
(si, si), qui lui annonce qu’il va être chargé d’une
mission de première importance. Dieu parle directement
dans ses pensées, tout comme une certaine « Dame
Sagesse » qui lui prodigue ses conseils. Celle-ci
lui révèle qu’il doit se rendre aux Etats-Unis pour
lutter contre l’esclavage. Toujours en voyage au
Proche-Orient, il apprend que ses deux épouses
officielles, Haydée et Mercédès, ont donné naissance à
des filles, respectivement Jana et Lextra. Monte-Cristo
se trouve donc avoir quatre enfants d’un coup ou
presque.
Après avoir pouponné un moment, il part s’installer en
Géorgie, près d’Atlanta, où il a acheté une plantation.
Il s’occupe beaucoup de son aménagement et de
l’organisation domestique du domaine. Il achète un grand
nombre d’esclaves à qui il donne aussitôt la liberté –
ils restent tous travailler pour lui. Quand tout est
prêt, il fait venir ses deux épouses et leurs deux bébés
et organise une grande fête avec tout le voisinage.
Il se rend à l’Université de Yale dans le Connecticut,
où l’on apprend qu’il a étudié des années plus tôt
(après son évasion du château d’If). Il y a également
fondé la célèbre association d’élèves « Skull and
Bones ». De là, Monte-Cristo se rend à Paris pour
assister à la naissance du fils, baptisé Monte, de
Maximilien et Valentine. Entre temps, Villefort, guéri
de sa folie est redevenu procureur (en dépit de tous ses
crimes !). Désireux de se venger de Monte-Cristo,
il le fait jeter en prison.
Le comte y reçoit de fréquentes visites d’un certain
Sherlock Holmes, adolescent qui travaille pour
Villefort. Sherlock et Monte-Cristo se lient, et ce
dernier prend le jeune homme comme élève. Le futur
détective organise l’évasion de Monte-Cristo qui ne
semblait pas s’en préoccuper le moins du monde. Les deux
hommes créent l’Ordre Souverain de Monte-Cristo,
« conçu pour protéger les descendants de
Monte-Cristo et donc la dynastie mérovingienne »
(sic). Il apparaît par ailleurs que Monte-Cristo a déjà
recruté à son service toutes les sociétés secrètes
imaginables, des Templiers aux Francs-Maçons.
Il emmène Holmes dans sa propriété américaine. Au
passage, il rencontre à Charleston une femme descendant
comme lui de Marie Madeleine (celle de Jésus Christ) et
des Mérovingiens. Réinstallé chez lui, Monte-Cristo met
au point, grâce aux conseils qui lui parviennent de
façon surnaturelle, un élixir d’immortalité (ou
presque). Il organise des fêtes, s’occupe de son
potager, repousse les avances d’une très jolie ex
esclave (qui se venge en couchant avec Sherlock Holmes),
joue avec ses enfants, etc…
Le ménage à trois Edmond Dantès-Haydée-Mercédès menace
de devenir un ménage à quatre quand Raymee débarque avec
ses deux enfants (ceux de Monte-Cristo), ce qui ne fait
pas rire les deux épouses officielles. La situation se
complique quand la belle esclave, qui s’est fait faire
un bébé par Sherlock Holmes, fait croire à tout le monde
que Monte-Cristo est le père. Ce dernier refusant de
prendre Raymee comme troisième épouse, celle-ci part
très fâchée.
Se souvenant qu’il est chargé de la mission divine de
lutter contre l’esclavage, Monte-Cristo monte un plan
machiavélique. Il invite chez lui quelques sénateurs pro
esclavage. En premier lieu, il les maltraite sévèrement
comme le sont les esclaves pour qu’ils comprennent que
c’est dur d’en être un, puis il leur offre des
prostituées pour s’attirer leur bienveillance. Il semble
considérer que ce double traitement va les rallier à la
cause de l’antiesclavagisme. Le livre s’arrête là,
laissant le lecteur haletant…
Face à une telle accumulation d’absurdités, on reste
sans voix. La succession ininterrompue d’incohérences et
d’inepties est d’autant plus frappante que le livre est
très court : des développements majeurs sont
expédiés en un paragraphe, sans l’ombre d’une
explication.
Le plus étrange et une contradiction fondamentale au
cœur du livre. D’un côté, le personnage de Monte-Cristo
acquiert une dimension carrément surhumaine : lien
direct avec Dieu, ascendance remontant à Marie
Madeleine, appartenance à une lignée royale protégée de
siècle en siècle par des sociétés secrètes… De l’autre,
Monte-Cristo se comporte comme un bourgeois de province,
empêtré dans ses histoires de femmes et de maîtresses,
incapable d’initiative, dépourvu de la volonté d’acier
et des moyens matériels illimités qui en faisaient un
quasi surhomme chez Dumas. Dans ce roman, Monte-Cristo
passe plus de temps à se préoccuper des menus de ses
fêtes et de la production de son potager qu’à mener à
bien quelque grand dessein : ses efforts
antiesclavagisme sont pathétiques. L’ensemble est
tellement ahurissant, à vrai dire, qu’il en devient
drôle. L'histoire se poursuit dans Confederate
States of Monte Cristo.
Extrait du chapitre 10 To the rescue
“REMARKABLE, SHERLOCK! But you must hurry and tell me
how you helped Dantes escape— I have been sitting here
in suspense, and I can wait no longer!”
“ You do make me laugh, my dear old Dr. Watson. You are
getting almost as impatient as me, old boy. Very well— I
will conclude this portion of Dante’s tale and take us
into the next part of his adventure. News reached home
about the capture of the Count of Monte Cristo, and
Haydee sent the Albanian War Fleet to rescue her love.
It was met by the French Navy, which was reminded of the
treaty between France and Albania. Despite that,
Villefort refused to release Dantes, saying that he was
a French citizen first, and the ruler of Albania second—
and thus must answer to French justice.
“ Admiral Jarre met with me and aided in the plan, so
that Dantes could easily make his escape. I plied the
guards with alcohol— I knew they could not resist free
spirits— and once they had passed out, I eased the keys
to Dantes' cell from one of their pockets. After that,
it was easy to sneak Dantes and Captain Medusalocks from
the dungeon and accompany them far from the prison. The
men parted ways reluctantly, agreeing that they would
forever be allies. The Count followed me to meet up with
Admiral Jarre, who escorted him to the Iblis.
“ Dantes and I forged an alliance after that escape
that developed into the Sovereign Order of Monte Cristo,
a secret society designed to protect the heirs of Monte
Cristo and, ergo, the Merovingian dynasty. We designed
an emblem that includes a cross overlapped by a crown
and the Seal of Solomon for the new order. No matter how
many years pass between our meetings, that Order will
always bind us to one another as brothers.
“ I learned firsthand from a real master how he had
already infiltrated the top levels of the Sovereign
Military Order of Malta, the Illuminati, the Masons, the
Rothschilds, and other wealthy dynasties and lesser-
known secret societies. We invited those that he found
to be trustworthy in these societies and dynasties into
this new secret order, including the disbanded Templars
and Melchizedekians who were already aware of, and
attempting to maintain and protect, the surviving
Merovingian family tree.
“ The Templars were among the most wealthy and powerful
of the Western Christian military orders. They had
already been trying to keep track of the descendants of
Mary Magdalene and were aware of the branch that led to
Edmond Dantes, but had lost track of him due to his
imprisonment and countless personalities. As such, they
were especially pleased to join this newer society. “
Now, my dear Watson, you can perhaps better understand
how I developed into England’s greatest detective and
crime fighter. I will tell much of the story in the
third person, despite being so deeply involved, because
it gets a little too personal for me to comfortably
relate otherwise. You will soon see what I mean.”
“ Sherlock, I have been amazed at your techniques and
abilities, but you have kept this secret so secure! It
astonishes me more than anything you have ever revealed,
or any crime you have solved; and I cannot imagine you
to be embarrassed of anything. But do tell on— I am
eager to hear more of your tale.”
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